M3 (ou NGC 5272) est un amas globulaire situé dans la constellation des Chiens de chasse à environ 33 300 a.l. de la Terre3. Il a été découvert par l'astronome français Charles Messier en 17645. La magnitude apparente de cet amas est de 6,3, celui-ci est donc situé juste au-dessus de la limite théorique de visibilité à l'œil nu.
M3 (ou NGC 5272) est un amas globulaire situé dans la constellation des Chiens de chasse à environ 33 300 a.l. de la Terre3. Il a été découvert par l'astronome français Charles Messier en 17645. La magnitude apparente de cet amas est de 6,3, celui-ci est donc situé juste au-dessus de la limite théorique de visibilité à l'œil nu.
La galaxie d'Andromède, également désignée M31 dans le Catalogue de Messier et NGC 224, est une galaxie spirale située à environ 2,55 millions d'années-lumière du Soleil, dans la constellation d'Andromède.La galaxie d'Andromède (NGC 224) a été utilisée par Gérard de Vaucouleurs comme une galaxie de type morphologique SA(s)b dans son atlas des galaxies9,10.Appelée grande nébuleuse d’Andromède jusqu'à ce que sa vraie nature ait été reconnue dans les années 1920, la galaxie d'Andromède est la galaxie spirale la plus proche de la Voie lactée (toutes classes confondues, la galaxie la plus proche est la naine du Grand Chien) et le plus grand membre du Groupe local d'une soixantaine de galaxies individuelles dont toutes deux font partie. D'un diamètre d'environ 220 000 années-lumière, elle contiendrait environ mille milliards d'étoiles11, deux à cinq fois plus que notre galaxie.Avec une magnitude visuelle de 3,4, la galaxie d'Andromède est l’une des rares galaxies observables à l'œil nu depuis la Terre dans l’hémisphère nord. C’est également l'un des objets les plus étendus de la voûte céleste, avec un diamètre apparent de 3,18°, soit plus de six fois le diamètre apparent de la Lune12 observée depuis la Terre.
La galaxie d'Andromède, également désignée M31 dans le Catalogue de Messier et NGC 224, est une galaxie spirale située à environ 2,55 millions d'années-lumière du Soleil, dans la constellation d'Andromède.La galaxie d'Andromède (NGC 224) a été utilisée par Gérard de Vaucouleurs comme une galaxie de type morphologique SA(s)b dans son atlas des galaxies9,10.Appelée grande nébuleuse d’Andromède jusqu'à ce que sa vraie nature ait été reconnue dans les années 1920, la galaxie d'Andromède est la galaxie spirale la plus proche de la Voie lactée (toutes classes confondues, la galaxie la plus proche est la naine du Grand Chien) et le plus grand membre du Groupe local d'une soixantaine de galaxies individuelles dont toutes deux font partie. D'un diamètre d'environ 220 000 années-lumière, elle contiendrait environ mille milliards d'étoiles11, deux à cinq fois plus que notre galaxie.Avec une magnitude visuelle de 3,4, la galaxie d'Andromède est l’une des rares galaxies observables à l'œil nu depuis la Terre dans l’hémisphère nord. C’est également l'un des objets les plus étendus de la voûte céleste, avec un diamètre apparent de 3,18°, soit plus de six fois le diamètre apparent de la Lune12 observée depuis la Terre.
La Voie lactée, aussi nommée la Galaxie (avec une majuscule), est une galaxie spirale barrée qui comprend entre 200 et 400 milliards d'étoiles, et sans doute plus de 100 milliards de planètes. Elle abrite le Système solaire et donc la Terre. Son diamètre est estimé à 100 000 à 120 000 années-lumière, voire à 150 000 ou à 200 000 années-lumière, bien que le nombre d'étoiles au-delà de 120 000 années-lumière soit très faible. Elle et son cortège de galaxies satellites font partie du Groupe local, lui-même rattaché au superamas de la Vierge appartenant lui-même à Laniakea. Le Système solaire se situe à environ 27 000 années-lumière du centre de la Voie lactée, lequel est constitué d'un trou noir supermassif.Observée de la Terre, la Galaxie ressemble à une bande blanchâtre. En effet, le Système solaire est situé sur le bord de sa structure en forme de disque, qui apparaît alors comme une bande, et l'accumulation d'une multitude d'étoiles que l'on ne peut distinguer à l'œil nu lui donne son aspect « lacté », comme l'avaient déjà avancé Démocrite et Anaxagore. Grâce à sa lunette astronomique, Galilée démontre le premier, en 1610, que cette bande est due à la présence de nombreuses étoiles. L'astronome Thomas Wright élabore, en 1750, un modèle de la Galaxie, qui sera repris par le philosophe Emmanuel Kant, lequel avance que les nébuleuses observées dans le ciel sont des « univers-îles ». Dans les années 1920, l'astronome Edwin Hubble prouve qu'elle n'est qu'une galaxie parmi plusieurs et clôt ainsi le Grand Débat qui porte notamment sur la nature des nébuleuses. C'est à partir des années 1930 que le modèle actuel de galaxie spirale avec un bulbe central s'impose pour la Voie lactée.Les plus anciennes étoiles de la Galaxie sont apparues après les âges sombres du Big Bang ; elles sont donc presque aussi âgées que l'Univers même. Par exemple, l'âge de HE 1523-0901, la plus vieille étoile de la Voie lactée, est de 13,2 milliards d'années. Selon des référentiels cosmologiques, l'ensemble de la Galaxie se déplace à une vitesse d'environ 600 km/s. Les étoiles et les gaz qui se trouvent à une grande distance de son centre galactique se déplacent à environ 220 km/s par rapport à ce centre. Les lois de Kepler ne pouvant expliquer cette vitesse constante, il est apparu nécessaire d'envisager que la majorité de la masse de la Voie lactée n'émet ni n'absorbe de rayonnement électromagnétique et est donc constituée d'une substance hypothétique, la matière noire.
La Voie lactée, aussi nommée la Galaxie (avec une majuscule), est une galaxie spirale barrée qui comprend entre 200 et 400 milliards d'étoiles, et sans doute plus de 100 milliards de planètes. Elle abrite le Système solaire et donc la Terre. Son diamètre est estimé à 100 000 à 120 000 années-lumière, voire à 150 000 ou à 200 000 années-lumière, bien que le nombre d'étoiles au-delà de 120 000 années-lumière soit très faible. Elle et son cortège de galaxies satellites font partie du Groupe local, lui-même rattaché au superamas de la Vierge appartenant lui-même à Laniakea. Le Système solaire se situe à environ 27 000 années-lumière du centre de la Voie lactée, lequel est constitué d'un trou noir supermassif.Observée de la Terre, la Galaxie ressemble à une bande blanchâtre. En effet, le Système solaire est situé sur le bord de sa structure en forme de disque, qui apparaît alors comme une bande, et l'accumulation d'une multitude d'étoiles que l'on ne peut distinguer à l'œil nu lui donne son aspect « lacté », comme l'avaient déjà avancé Démocrite et Anaxagore. Grâce à sa lunette astronomique, Galilée démontre le premier, en 1610, que cette bande est due à la présence de nombreuses étoiles. L'astronome Thomas Wright élabore, en 1750, un modèle de la Galaxie, qui sera repris par le philosophe Emmanuel Kant, lequel avance que les nébuleuses observées dans le ciel sont des « univers-îles ». Dans les années 1920, l'astronome Edwin Hubble prouve qu'elle n'est qu'une galaxie parmi plusieurs et clôt ainsi le Grand Débat qui porte notamment sur la nature des nébuleuses. C'est à partir des années 1930 que le modèle actuel de galaxie spirale avec un bulbe central s'impose pour la Voie lactée.Les plus anciennes étoiles de la Galaxie sont apparues après les âges sombres du Big Bang ; elles sont donc presque aussi âgées que l'Univers même. Par exemple, l'âge de HE 1523-0901, la plus vieille étoile de la Voie lactée, est de 13,2 milliards d'années. Selon des référentiels cosmologiques, l'ensemble de la Galaxie se déplace à une vitesse d'environ 600 km/s. Les étoiles et les gaz qui se trouvent à une grande distance de son centre galactique se déplacent à environ 220 km/s par rapport à ce centre. Les lois de Kepler ne pouvant expliquer cette vitesse constante, il est apparu nécessaire d'envisager que la majorité de la masse de la Voie lactée n'émet ni n'absorbe de rayonnement électromagnétique et est donc constituée d'une substance hypothétique, la matière noire.
La galaxie d'Andromède, également désignée M31 dans le Catalogue de Messier et NGC 224, est une galaxie spirale située à environ 2,55 millions d'années-lumière du Soleil, dans la constellation d'Andromède. La galaxie d'Andromède (NGC 224) a été utilisée par Gérard de Vaucouleurs comme une galaxie de type morphologique SA(s)b dans son atlas des galaxies9,10. Appelée grande nébuleuse d’Andromède jusqu'à ce que sa vraie nature ait été reconnue dans les années 1920, la galaxie d'Andromède est la galaxie spirale la plus proche de la Voie lactée (toutes classes confondues, la galaxie la plus proche est la naine du Grand Chien) et le plus grand membre du Groupe local d'une soixantaine de galaxies individuelles dont toutes deux font partie. D'un diamètre d'environ 220 000 années-lumière, elle contiendrait environ mille milliards d'étoiles11, deux à cinq fois plus que notre galaxie. Avec une magnitude visuelle de 3,4, la galaxie d'Andromède est l’une des rares galaxies observables à l'œil nu depuis la Terre dans l’hémisphère nord. C’est également l'un des objets les plus étendus de la voûte céleste, avec un diamètre apparent de 3,18°, soit plus de six fois le diamètre apparent de la Lune12 observée depuis la Terre.
La galaxie d'Andromède, également désignée M31 dans le Catalogue de Messier et NGC 224, est une galaxie spirale située à environ 2,55 millions d'années-lumière du Soleil, dans la constellation d'Andromède. La galaxie d'Andromède (NGC 224) a été utilisée par Gérard de Vaucouleurs comme une galaxie de type morphologique SA(s)b dans son atlas des galaxies9,10. Appelée grande nébuleuse d’Andromède jusqu'à ce que sa vraie nature ait été reconnue dans les années 1920, la galaxie d'Andromède est la galaxie spirale la plus proche de la Voie lactée (toutes classes confondues, la galaxie la plus proche est la naine du Grand Chien) et le plus grand membre du Groupe local d'une soixantaine de galaxies individuelles dont toutes deux font partie. D'un diamètre d'environ 220 000 années-lumière, elle contiendrait environ mille milliards d'étoiles11, deux à cinq fois plus que notre galaxie. Avec une magnitude visuelle de 3,4, la galaxie d'Andromède est l’une des rares galaxies observables à l'œil nu depuis la Terre dans l’hémisphère nord. C’est également l'un des objets les plus étendus de la voûte céleste, avec un diamètre apparent de 3,18°, soit plus de six fois le diamètre apparent de la Lune12 observée depuis la Terre.
La nébuleuse d'Orion, également connue sous le matricule de M42, Sh2-281, LBN 974, ou NGC 1976, est un nuage diffus qui brille en émission et en réflexion au cœur de la constellation du même nom. C'est la nébuleuse la plus intense visible à l'œil nu depuis l'hémisphère nord, de nuit et en l'absence de pollution lumineuse. Elle peut être facilement aperçue avec des jumelles.
La nébuleuse d'Orion, également connue sous le matricule de M42, Sh2-281, LBN 974, ou NGC 1976, est un nuage diffus qui brille en émission et en réflexion au cœur de la constellation du même nom. C'est la nébuleuse la plus intense visible à l'œil nu depuis l'hémisphère nord, de nuit et en l'absence de pollution lumineuse. Elle peut être facilement aperçue avec des jumelles.
La nébuleuse d'Orion, également connue sous le matricule de M42, Sh2-281, LBN 974, ou NGC 1976, est un nuage diffus qui brille en émission et en réflexion au cœur de la constellation du même nom. C'est la nébuleuse la plus intense visible à l'œil nu depuis l'hémisphère nord, de nuit et en l'absence de pollution lumineuse. Elle peut être facilement aperçue avec des jumelles.
La nébuleuse d'Orion, également connue sous le matricule de M42, Sh2-281, LBN 974, ou NGC 1976, est un nuage diffus qui brille en émission et en réflexion au cœur de la constellation du même nom. C'est la nébuleuse la plus intense visible à l'œil nu depuis l'hémisphère nord, de nuit et en l'absence de pollution lumineuse. Elle peut être facilement aperçue avec des jumelles.
Epsilon Virginis ou Epsilon de la Vierge (ε Virginis / ε Vir) est une étoile de la constellation de la Vierge. Elle porte également le nom traditionnel Vindemiatrix, mot latin signifiant « vendangeuse », car son lever héliaque indiquait le début des vendanges à l’époque romaine. La mythologie, et notamment Ovide, l'associe à la figure d'Ampélos.Vindemiatrix est une étoile géante jaune de magnitude apparente 2,85 et de type spectral G8 III située à environ 109,6 années-lumière (33,6 parsecs) de la Terre selon la méthode de mesure par parallaxe de la mission Hipparcos. D'environ 3 masses solaires, elle possède une luminosité égale à 83 fois celle du Soleil et une température de surface comprise entre 4990 et 5 086 kelvins.Vindemiatrix est la 3e étoile la plus brillante de la Vierge et la 145e étoile la plus brillante du ciel. Née il y a une centaine de millions d'années, elle a épuisé sa réserve d'hydrogène transformée en hélium et brûle désormais cet hélium. De ce fait, elle doit augmenter sa température et sa pression centrale, ce qui a pour conséquence d'étendre son enveloppe externe, qui par contre-coup se refroidit : Vindemiatrix se transforme donc en géante rouge...
Epsilon Virginis ou Epsilon de la Vierge (ε Virginis / ε Vir) est une étoile de la constellation de la Vierge. Elle porte également le nom traditionnel Vindemiatrix, mot latin signifiant « vendangeuse », car son lever héliaque indiquait le début des vendanges à l’époque romaine. La mythologie, et notamment Ovide, l'associe à la figure d'Ampélos.Vindemiatrix est une étoile géante jaune de magnitude apparente 2,85 et de type spectral G8 III située à environ 109,6 années-lumière (33,6 parsecs) de la Terre selon la méthode de mesure par parallaxe de la mission Hipparcos. D'environ 3 masses solaires, elle possède une luminosité égale à 83 fois celle du Soleil et une température de surface comprise entre 4990 et 5 086 kelvins.Vindemiatrix est la 3e étoile la plus brillante de la Vierge et la 145e étoile la plus brillante du ciel. Née il y a une centaine de millions d'années, elle a épuisé sa réserve d'hydrogène transformée en hélium et brûle désormais cet hélium. De ce fait, elle doit augmenter sa température et sa pression centrale, ce qui a pour conséquence d'étendre son enveloppe externe, qui par contre-coup se refroidit : Vindemiatrix se transforme donc en géante rouge...
Les Dentelles du Cygne forment un rémanent de supernova dont l'explosion remonterait à une dizaine de milliers d'années. Elles se situent dans la constellation du Cygne. Le nom normalisé de ce rémanent est SNR G074.0-08.6, qui est quelquefois également appelé boucle du Cygne, terme issu de la traduction littérale de son nom anglais (Cygnus Loop).Cet objet est très vaste (une dizaine de degrés carrés) et très morcelé, notamment dans le domaine visible. Il n'a reçu que récemment une désignation qui s'applique à l'objet tout entier. On retrouve notamment les Dentelles du Cygne dans le catalogue Sharpless sous la désignation de Sh2-103.On la connaît cependant mieux en tant que groupe de plusieurs parties brillantes grosso modo disposées en cercle :la Grande Dentelle, la partie la plus brillante, se situe dans la région nord-est. Elle a la forme d'une virgule composée de filaments très fins s'étendant sur 1,2° suivant un axe NO-SE pour une largeur de l'ordre de dix minutes d'arc. Elle a été répertoriée par John Dreyer sous les désignations NGC 6992 (partie longiligne du nord-ouest), NGC 6995 (rebiquage au sud-est) et IC 1340 (extensions plus faibles de ce rebiquage) ;la Petite Dentelle se situe à l'opposé de la grande, à 2,5° au sud-ouest de cette dernière. Elle présente la particularité d'effleurer visuellement une étoile visible à l'œil nu (magnitude 4,2), 52 Cygni, ce qui rend le pointage aisé pour l'astronome amateur. Au nord de cette étoile, la Petite Dentelle est constituée d'un filament comprenant deux brins principaux, s'étendant sur quasiment un demi-degré pour une largeur ne dépassant pas quatre minutes d'arc ; de l'autre côté de l'étoile, le filament s'évase en direction du sud-est autour de trois brins principaux (plus brillants au fur et à mesure que l'on s'éloigne vers l'ouest). Cette partie des Dentelles du Cygne est connue sous la désignation de NGC 6960 (elle n'en constitue en fait qu'une petite partie) ;le Triangle de Pickering se trouve quant à lui au nord-ouest de la nébuleuse. Comme son nom l'indique en partie, il s'agit d'un triangle filamenteux allongé en direction du sud sur environ 45 minutes d'arc (pour une base de 25' de largeur). Il partage avec la Petite Dentelle la désignation de NGC 6960. Le Triangle de Pickering se prolonge par un long filament de plus de deux degrés de long ;quelques nodosités isolées viennent compléter le tableau, toujours avec l'aspect filamenteux que l'on retrouve dans les parties précédentes. Citons notamment NGC 6974 et NGC 6979, un demi-degré au nord-est du Triangle de Pickering.
Les Dentelles du Cygne forment un rémanent de supernova dont l'explosion remonterait à une dizaine de milliers d'années. Elles se situent dans la constellation du Cygne. Le nom normalisé de ce rémanent est SNR G074.0-08.6, qui est quelquefois également appelé boucle du Cygne, terme issu de la traduction littérale de son nom anglais (Cygnus Loop).Cet objet est très vaste (une dizaine de degrés carrés) et très morcelé, notamment dans le domaine visible. Il n'a reçu que récemment une désignation qui s'applique à l'objet tout entier. On retrouve notamment les Dentelles du Cygne dans le catalogue Sharpless sous la désignation de Sh2-103.On la connaît cependant mieux en tant que groupe de plusieurs parties brillantes grosso modo disposées en cercle :la Grande Dentelle, la partie la plus brillante, se situe dans la région nord-est. Elle a la forme d'une virgule composée de filaments très fins s'étendant sur 1,2° suivant un axe NO-SE pour une largeur de l'ordre de dix minutes d'arc. Elle a été répertoriée par John Dreyer sous les désignations NGC 6992 (partie longiligne du nord-ouest), NGC 6995 (rebiquage au sud-est) et IC 1340 (extensions plus faibles de ce rebiquage) ;la Petite Dentelle se situe à l'opposé de la grande, à 2,5° au sud-ouest de cette dernière. Elle présente la particularité d'effleurer visuellement une étoile visible à l'œil nu (magnitude 4,2), 52 Cygni, ce qui rend le pointage aisé pour l'astronome amateur. Au nord de cette étoile, la Petite Dentelle est constituée d'un filament comprenant deux brins principaux, s'étendant sur quasiment un demi-degré pour une largeur ne dépassant pas quatre minutes d'arc ; de l'autre côté de l'étoile, le filament s'évase en direction du sud-est autour de trois brins principaux (plus brillants au fur et à mesure que l'on s'éloigne vers l'ouest). Cette partie des Dentelles du Cygne est connue sous la désignation de NGC 6960 (elle n'en constitue en fait qu'une petite partie) ;le Triangle de Pickering se trouve quant à lui au nord-ouest de la nébuleuse. Comme son nom l'indique en partie, il s'agit d'un triangle filamenteux allongé en direction du sud sur environ 45 minutes d'arc (pour une base de 25' de largeur). Il partage avec la Petite Dentelle la désignation de NGC 6960. Le Triangle de Pickering se prolonge par un long filament de plus de deux degrés de long ;quelques nodosités isolées viennent compléter le tableau, toujours avec l'aspect filamenteux que l'on retrouve dans les parties précédentes. Citons notamment NGC 6974 et NGC 6979, un demi-degré au nord-est du Triangle de Pickering.
Les Dentelles du Cygne forment un rémanent de supernova dont l'explosion remonterait à une dizaine de milliers d'années. Elles se situent dans la constellation du Cygne. Le nom normalisé de ce rémanent est SNR G074.0-08.6, qui est quelquefois également appelé boucle du Cygne, terme issu de la traduction littérale de son nom anglais (Cygnus Loop). Cet objet est très vaste (une dizaine de degrés carrés) et très morcelé, notamment dans le domaine visible. Il n'a reçu que récemment une désignation qui s'applique à l'objet tout entier. On retrouve notamment les Dentelles du Cygne dans le catalogue Sharpless sous la désignation de Sh2-103. On la connaît cependant mieux en tant que groupe de plusieurs parties brillantes grosso modo disposées en cercle : la Grande Dentelle, la partie la plus brillante, se situe dans la région nord-est. Elle a la forme d'une virgule composée de filaments très fins s'étendant sur 1,2° suivant un axe NO-SE pour une largeur de l'ordre de dix minutes d'arc. Elle a été répertoriée par John Dreyer sous les désignations NGC 6992 (partie longiligne du nord-ouest), NGC 6995 (rebiquage au sud-est) et IC 1340 (extensions plus faibles de ce rebiquage) ; la Petite Dentelle se situe à l'opposé de la grande, à 2,5° au sud-ouest de cette dernière. Elle présente la particularité d'effleurer visuellement une étoile visible à l'œil nu (magnitude 4,2), 52 Cygni, ce qui rend le pointage aisé pour l'astronome amateur. Au nord de cette étoile, la Petite Dentelle est constituée d'un filament comprenant deux brins principaux, s'étendant sur quasiment un demi-degré pour une largeur ne dépassant pas quatre minutes d'arc ; de l'autre côté de l'étoile, le filament s'évase en direction du sud-est autour de trois brins principaux (plus brillants au fur et à mesure que l'on s'éloigne vers l'ouest). Cette partie des Dentelles du Cygne est connue sous la désignation de NGC 6960 (elle n'en constitue en fait qu'une petite partie) ; le Triangle de Pickering se trouve quant à lui au nord-ouest de la nébuleuse. Comme son nom l'indique en partie, il s'agit d'un triangle filamenteux allongé en direction du sud sur environ 45 minutes d'arc (pour une base de 25' de largeur). Il partage avec la Petite Dentelle la désignation de NGC 6960. Le Triangle de Pickering se prolonge par un long filament de plus de deux degrés de long ; quelques nodosités isolées viennent compléter le tableau, toujours avec l'aspect filamenteux que l'on retrouve dans les parties précédentes. Citons notamment NGC 6974 et NGC 6979, un demi-degré au nord-est du Triangle de Pickering.
Les Dentelles du Cygne forment un rémanent de supernova dont l'explosion remonterait à une dizaine de milliers d'années. Elles se situent dans la constellation du Cygne. Le nom normalisé de ce rémanent est SNR G074.0-08.6, qui est quelquefois également appelé boucle du Cygne, terme issu de la traduction littérale de son nom anglais (Cygnus Loop). Cet objet est très vaste (une dizaine de degrés carrés) et très morcelé, notamment dans le domaine visible. Il n'a reçu que récemment une désignation qui s'applique à l'objet tout entier. On retrouve notamment les Dentelles du Cygne dans le catalogue Sharpless sous la désignation de Sh2-103. On la connaît cependant mieux en tant que groupe de plusieurs parties brillantes grosso modo disposées en cercle : la Grande Dentelle, la partie la plus brillante, se situe dans la région nord-est. Elle a la forme d'une virgule composée de filaments très fins s'étendant sur 1,2° suivant un axe NO-SE pour une largeur de l'ordre de dix minutes d'arc. Elle a été répertoriée par John Dreyer sous les désignations NGC 6992 (partie longiligne du nord-ouest), NGC 6995 (rebiquage au sud-est) et IC 1340 (extensions plus faibles de ce rebiquage) ; la Petite Dentelle se situe à l'opposé de la grande, à 2,5° au sud-ouest de cette dernière. Elle présente la particularité d'effleurer visuellement une étoile visible à l'œil nu (magnitude 4,2), 52 Cygni, ce qui rend le pointage aisé pour l'astronome amateur. Au nord de cette étoile, la Petite Dentelle est constituée d'un filament comprenant deux brins principaux, s'étendant sur quasiment un demi-degré pour une largeur ne dépassant pas quatre minutes d'arc ; de l'autre côté de l'étoile, le filament s'évase en direction du sud-est autour de trois brins principaux (plus brillants au fur et à mesure que l'on s'éloigne vers l'ouest). Cette partie des Dentelles du Cygne est connue sous la désignation de NGC 6960 (elle n'en constitue en fait qu'une petite partie) ; le Triangle de Pickering se trouve quant à lui au nord-ouest de la nébuleuse. Comme son nom l'indique en partie, il s'agit d'un triangle filamenteux allongé en direction du sud sur environ 45 minutes d'arc (pour une base de 25' de largeur). Il partage avec la Petite Dentelle la désignation de NGC 6960. Le Triangle de Pickering se prolonge par un long filament de plus de deux degrés de long ; quelques nodosités isolées viennent compléter le tableau, toujours avec l'aspect filamenteux que l'on retrouve dans les parties précédentes. Citons notamment NGC 6974 et NGC 6979, un demi-degré au nord-est du Triangle de Pickering.
Les Dentelles du Cygne forment un rémanent de supernova dont l'explosion remonterait à une dizaine de milliers d'années. Elles se situent dans la constellation du Cygne. Le nom normalisé de ce rémanent est SNR G074.0-08.6, qui est quelquefois également appelé boucle du Cygne, terme issu de la traduction littérale de son nom anglais (Cygnus Loop). Cet objet est très vaste (une dizaine de degrés carrés) et très morcelé, notamment dans le domaine visible. Il n'a reçu que récemment une désignation qui s'applique à l'objet tout entier. On retrouve notamment les Dentelles du Cygne dans le catalogue Sharpless sous la désignation de Sh2-103. On la connaît cependant mieux en tant que groupe de plusieurs parties brillantes grosso modo disposées en cercle : la Grande Dentelle, la partie la plus brillante, se situe dans la région nord-est. Elle a la forme d'une virgule composée de filaments très fins s'étendant sur 1,2° suivant un axe NO-SE pour une largeur de l'ordre de dix minutes d'arc. Elle a été répertoriée par John Dreyer sous les désignations NGC 6992 (partie longiligne du nord-ouest), NGC 6995 (rebiquage au sud-est) et IC 1340 (extensions plus faibles de ce rebiquage) ; la Petite Dentelle se situe à l'opposé de la grande, à 2,5° au sud-ouest de cette dernière. Elle présente la particularité d'effleurer visuellement une étoile visible à l'œil nu (magnitude 4,2), 52 Cygni, ce qui rend le pointage aisé pour l'astronome amateur. Au nord de cette étoile, la Petite Dentelle est constituée d'un filament comprenant deux brins principaux, s'étendant sur quasiment un demi-degré pour une largeur ne dépassant pas quatre minutes d'arc ; de l'autre côté de l'étoile, le filament s'évase en direction du sud-est autour de trois brins principaux (plus brillants au fur et à mesure que l'on s'éloigne vers l'ouest). Cette partie des Dentelles du Cygne est connue sous la désignation de NGC 6960 (elle n'en constitue en fait qu'une petite partie) ; le Triangle de Pickering se trouve quant à lui au nord-ouest de la nébuleuse. Comme son nom l'indique en partie, il s'agit d'un triangle filamenteux allongé en direction du sud sur environ 45 minutes d'arc (pour une base de 25' de largeur). Il partage avec la Petite Dentelle la désignation de NGC 6960. Le Triangle de Pickering se prolonge par un long filament de plus de deux degrés de long ; quelques nodosités isolées viennent compléter le tableau, toujours avec l'aspect filamenteux que l'on retrouve dans les parties précédentes. Citons notamment NGC 6974 et NGC 6979, un demi-degré au nord-est du Triangle de Pickering.
Les Dentelles du Cygne forment un rémanent de supernova dont l'explosion remonterait à une dizaine de milliers d'années. Elles se situent dans la constellation du Cygne. Le nom normalisé de ce rémanent est SNR G074.0-08.6, qui est quelquefois également appelé boucle du Cygne, terme issu de la traduction littérale de son nom anglais (Cygnus Loop). Cet objet est très vaste (une dizaine de degrés carrés) et très morcelé, notamment dans le domaine visible. Il n'a reçu que récemment une désignation qui s'applique à l'objet tout entier. On retrouve notamment les Dentelles du Cygne dans le catalogue Sharpless sous la désignation de Sh2-103. On la connaît cependant mieux en tant que groupe de plusieurs parties brillantes grosso modo disposées en cercle : la Grande Dentelle, la partie la plus brillante, se situe dans la région nord-est. Elle a la forme d'une virgule composée de filaments très fins s'étendant sur 1,2° suivant un axe NO-SE pour une largeur de l'ordre de dix minutes d'arc. Elle a été répertoriée par John Dreyer sous les désignations NGC 6992 (partie longiligne du nord-ouest), NGC 6995 (rebiquage au sud-est) et IC 1340 (extensions plus faibles de ce rebiquage) ; la Petite Dentelle se situe à l'opposé de la grande, à 2,5° au sud-ouest de cette dernière. Elle présente la particularité d'effleurer visuellement une étoile visible à l'œil nu (magnitude 4,2), 52 Cygni, ce qui rend le pointage aisé pour l'astronome amateur. Au nord de cette étoile, la Petite Dentelle est constituée d'un filament comprenant deux brins principaux, s'étendant sur quasiment un demi-degré pour une largeur ne dépassant pas quatre minutes d'arc ; de l'autre côté de l'étoile, le filament s'évase en direction du sud-est autour de trois brins principaux (plus brillants au fur et à mesure que l'on s'éloigne vers l'ouest). Cette partie des Dentelles du Cygne est connue sous la désignation de NGC 6960 (elle n'en constitue en fait qu'une petite partie) ; le Triangle de Pickering se trouve quant à lui au nord-ouest de la nébuleuse. Comme son nom l'indique en partie, il s'agit d'un triangle filamenteux allongé en direction du sud sur environ 45 minutes d'arc (pour une base de 25' de largeur). Il partage avec la Petite Dentelle la désignation de NGC 6960. Le Triangle de Pickering se prolonge par un long filament de plus de deux degrés de long ; quelques nodosités isolées viennent compléter le tableau, toujours avec l'aspect filamenteux que l'on retrouve dans les parties précédentes. Citons notamment NGC 6974 et NGC 6979, un demi-degré au nord-est du Triangle de Pickering.
La nébuleuse de l'Amérique du Nord, cataloguée NGC 7000, est une nébuleuse en émission située à environ 580 pc (∼1 890 a.l.) dans la constellation du Cygne, près de Alpha Cygni1. Elle a une taille environ 15 pc (∼48,9 a.l.)1.
La nébuleuse de l'Amérique du Nord, cataloguée NGC 7000, est une nébuleuse en émission située à environ 580 pc (∼1 890 a.l.) dans la constellation du Cygne, près de Alpha Cygni1. Elle a une taille environ 15 pc (∼48,9 a.l.)1.
La nébuleuse de l'Amérique du Nord, cataloguée NGC 7000, est une nébuleuse en émission située à environ 580 pc (∼1 890 a.l.) dans la constellation du Cygne, près de Alpha Cygni1. Elle a une taille environ 15 pc (∼48,9 a.l.)1.
La nébuleuse de l'Amérique du Nord, cataloguée NGC 7000, est une nébuleuse en émission située à environ 580 pc (∼1 890 a.l.) dans la constellation du Cygne, près de Alpha Cygni1. Elle a une taille environ 15 pc (∼48,9 a.l.)1.
La nébuleuse de l'Amérique du Nord, cataloguée NGC 7000, est une nébuleuse en émission située à environ 580 pc (∼1 890 a.l.) dans la constellation du Cygne, près de Alpha Cygni1. Elle a une taille environ 15 pc (∼48,9 a.l.)1.
La nébuleuse de l'Amérique du Nord, cataloguée NGC 7000, est une nébuleuse en émission située à environ 580 pc (∼1 890 a.l.) dans la constellation du Cygne, près de Alpha Cygni1. Elle a une taille environ 15 pc (∼48,9 a.l.)1.
La galaxie d'Andromède, également désignée M31 dans le Catalogue de Messier et NGC 224, est une galaxie spirale située à environ 2,55 millions d'années-lumière du Soleil, dans la constellation d'Andromède. La galaxie d'Andromède (NGC 224) a été utilisée par Gérard de Vaucouleurs comme une galaxie de type morphologique SA(s)b dans son atlas des galaxies9,10. Appelée grande nébuleuse d’Andromède jusqu'à ce que sa vraie nature ait été reconnue dans les années 1920, la galaxie d'Andromède est la galaxie spirale la plus proche de la Voie lactée (toutes classes confondues, la galaxie la plus proche est la naine du Grand Chien) et le plus grand membre du Groupe local d'une soixantaine de galaxies individuelles dont toutes deux font partie. D'un diamètre d'environ 220 000 années-lumière, elle contiendrait environ mille milliards d'étoiles11, deux à cinq fois plus que notre galaxie. Avec une magnitude visuelle de 3,4, la galaxie d'Andromède est l’une des rares galaxies observables à l'œil nu depuis la Terre dans l’hémisphère nord. C’est également l'un des objets les plus étendus de la voûte céleste, avec un diamètre apparent de 3,18°, soit plus de six fois le diamètre apparent de la Lune12 observée depuis la Terre.
La galaxie d'Andromède, également désignée M31 dans le Catalogue de Messier et NGC 224, est une galaxie spirale située à environ 2,55 millions d'années-lumière du Soleil, dans la constellation d'Andromède. La galaxie d'Andromède (NGC 224) a été utilisée par Gérard de Vaucouleurs comme une galaxie de type morphologique SA(s)b dans son atlas des galaxies9,10. Appelée grande nébuleuse d’Andromède jusqu'à ce que sa vraie nature ait été reconnue dans les années 1920, la galaxie d'Andromède est la galaxie spirale la plus proche de la Voie lactée (toutes classes confondues, la galaxie la plus proche est la naine du Grand Chien) et le plus grand membre du Groupe local d'une soixantaine de galaxies individuelles dont toutes deux font partie. D'un diamètre d'environ 220 000 années-lumière, elle contiendrait environ mille milliards d'étoiles11, deux à cinq fois plus que notre galaxie. Avec une magnitude visuelle de 3,4, la galaxie d'Andromède est l’une des rares galaxies observables à l'œil nu depuis la Terre dans l’hémisphère nord. C’est également l'un des objets les plus étendus de la voûte céleste, avec un diamètre apparent de 3,18°, soit plus de six fois le diamètre apparent de la Lune12 observée depuis la Terre.
NGC 7822 est une nébuleuse située à environ 3 000 années-lumière de la Terre, dans la constellation de Céphée2,3,4. D'une étendue de quelques dizaines d'années-lumière2, la région comprend les objets astronomiques Sharpless 171 et le jeune amas d'étoiles Berkeley 59 (pl).La nébuleuse abrite également l'une des étoiles les plus chaudes situées à proximité du Soleil, BD+66 1673, un système binaire incluant une O5V d'une température de surface d'environ 45 000 kelvins et d'une luminosité d'environ 100 000 fois celles du Soleil3.
NGC 7822 est une nébuleuse située à environ 3 000 années-lumière de la Terre, dans la constellation de Céphée2,3,4. D'une étendue de quelques dizaines d'années-lumière2, la région comprend les objets astronomiques Sharpless 171 et le jeune amas d'étoiles Berkeley 59 (pl).La nébuleuse abrite également l'une des étoiles les plus chaudes situées à proximité du Soleil, BD+66 1673, un système binaire incluant une O5V d'une température de surface d'environ 45 000 kelvins et d'une luminosité d'environ 100 000 fois celles du Soleil3.
La galaxie d'Andromède, également désignée M31 dans le Catalogue de Messier et NGC 224, est une galaxie spirale située à environ 2,55 millions d'années-lumière du Soleil, dans la constellation d'Andromède. La galaxie d'Andromède (NGC 224) a été utilisée par Gérard de Vaucouleurs comme une galaxie de type morphologique SA(s)b dans son atlas des galaxies9,10. Appelée grande nébuleuse d’Andromède jusqu'à ce que sa vraie nature ait été reconnue dans les années 1920, la galaxie d'Andromède est la galaxie spirale la plus proche de la Voie lactée (toutes classes confondues, la galaxie la plus proche est la naine du Grand Chien) et le plus grand membre du Groupe local d'une soixantaine de galaxies individuelles dont toutes deux font partie. D'un diamètre d'environ 220 000 années-lumière, elle contiendrait environ mille milliards d'étoiles11, deux à cinq fois plus que notre galaxie. Avec une magnitude visuelle de 3,4, la galaxie d'Andromède est l’une des rares galaxies observables à l'œil nu depuis la Terre dans l’hémisphère nord. C’est également l'un des objets les plus étendus de la voûte céleste, avec un diamètre apparent de 3,18°, soit plus de six fois le diamètre apparent de la Lune12 observée depuis la Terre.
La galaxie d'Andromède, également désignée M31 dans le Catalogue de Messier et NGC 224, est une galaxie spirale située à environ 2,55 millions d'années-lumière du Soleil, dans la constellation d'Andromède. La galaxie d'Andromède (NGC 224) a été utilisée par Gérard de Vaucouleurs comme une galaxie de type morphologique SA(s)b dans son atlas des galaxies9,10. Appelée grande nébuleuse d’Andromède jusqu'à ce que sa vraie nature ait été reconnue dans les années 1920, la galaxie d'Andromède est la galaxie spirale la plus proche de la Voie lactée (toutes classes confondues, la galaxie la plus proche est la naine du Grand Chien) et le plus grand membre du Groupe local d'une soixantaine de galaxies individuelles dont toutes deux font partie. D'un diamètre d'environ 220 000 années-lumière, elle contiendrait environ mille milliards d'étoiles11, deux à cinq fois plus que notre galaxie. Avec une magnitude visuelle de 3,4, la galaxie d'Andromède est l’une des rares galaxies observables à l'œil nu depuis la Terre dans l’hémisphère nord. C’est également l'un des objets les plus étendus de la voûte céleste, avec un diamètre apparent de 3,18°, soit plus de six fois le diamètre apparent de la Lune12 observée depuis la Terre.
NGC 7023, aussi nommée Caldwell 4 et la nébuleuse de l'Iris est une nébuleuse par réflexion dans la constellation de Céphée. Elle est située à 1300 années-lumière de la Terre.
NGC 7023, aussi nommée Caldwell 4 et la nébuleuse de l'Iris est une nébuleuse par réflexion dans la constellation de Céphée. Elle est située à 1300 années-lumière de la Terre.
La galaxie d'Andromède, également désignée M31 dans le Catalogue de Messier et NGC 224, est une galaxie spirale située à environ 2,55 millions d'années-lumière du Soleil, dans la constellation d'Andromède. La galaxie d'Andromède (NGC 224) a été utilisée par Gérard de Vaucouleurs comme une galaxie de type morphologique SA(s)b dans son atlas des galaxies9,10. Appelée grande nébuleuse d’Andromède jusqu'à ce que sa vraie nature ait été reconnue dans les années 1920, la galaxie d'Andromède est la galaxie spirale la plus proche de la Voie lactée (toutes classes confondues, la galaxie la plus proche est la naine du Grand Chien) et le plus grand membre du Groupe local d'une soixantaine de galaxies individuelles dont toutes deux font partie. D'un diamètre d'environ 220 000 années-lumière, elle contiendrait environ mille milliards d'étoiles11, deux à cinq fois plus que notre galaxie. Avec une magnitude visuelle de 3,4, la galaxie d'Andromède est l’une des rares galaxies observables à l'œil nu depuis la Terre dans l’hémisphère nord. C’est également l'un des objets les plus étendus de la voûte céleste, avec un diamètre apparent de 3,18°, soit plus de six fois le diamètre apparent de la Lune12 observée depuis la Terre.
La galaxie d'Andromède, également désignée M31 dans le Catalogue de Messier et NGC 224, est une galaxie spirale située à environ 2,55 millions d'années-lumière du Soleil, dans la constellation d'Andromède. La galaxie d'Andromède (NGC 224) a été utilisée par Gérard de Vaucouleurs comme une galaxie de type morphologique SA(s)b dans son atlas des galaxies9,10. Appelée grande nébuleuse d’Andromède jusqu'à ce que sa vraie nature ait été reconnue dans les années 1920, la galaxie d'Andromède est la galaxie spirale la plus proche de la Voie lactée (toutes classes confondues, la galaxie la plus proche est la naine du Grand Chien) et le plus grand membre du Groupe local d'une soixantaine de galaxies individuelles dont toutes deux font partie. D'un diamètre d'environ 220 000 années-lumière, elle contiendrait environ mille milliards d'étoiles11, deux à cinq fois plus que notre galaxie. Avec une magnitude visuelle de 3,4, la galaxie d'Andromède est l’une des rares galaxies observables à l'œil nu depuis la Terre dans l’hémisphère nord. C’est également l'un des objets les plus étendus de la voûte céleste, avec un diamètre apparent de 3,18°, soit plus de six fois le diamètre apparent de la Lune12 observée depuis la Terre.
La nébuleuse de l'Amérique du Nord, cataloguée NGC 7000, est une nébuleuse en émission située à environ 580 pc (∼1 890 a.l.) dans la constellation du Cygne, près de Alpha Cygni1. Elle a une taille environ 15 pc (∼48,9 a.l.)1.
La nébuleuse de l'Amérique du Nord, cataloguée NGC 7000, est une nébuleuse en émission située à environ 580 pc (∼1 890 a.l.) dans la constellation du Cygne, près de Alpha Cygni1. Elle a une taille environ 15 pc (∼48,9 a.l.)1.
La galaxie du Triangle, également appelée M33, est une galaxie spirale de type SA(s)cd appartenant au Groupe local et située dans la constellation du Triangle. Sans doute satellite de la galaxie d'Andromède, sa distance au Soleil est assez mal connue. Les mesures actuelles donnent une distance allant de environ 0,73 Mpc (∼2,38 millions d'a.l.) à environ 0,94 Mpc (∼3,07 millions d'a.l.).C'est la troisième galaxie la plus massive du Groupe local, après la galaxie d'Andromède et la Voie lactée mais devant le Grand Nuage de Magellan. Avec une masse évaluée à 60 milliards de masses solaires, elle ne représente que 5 % de la masse de la galaxie d'Andromède, la matière noire constituant près de 85 % de cette masse.Cataloguée pour la première fois par Charles Messier en 1764, la galaxie du Triangle avait probablement déjà été observée auparavant, étant visible à l'œil nu lorsque les conditions s'y prêtent. Son étude astronomique remonte au moins au milieu du xixe siècle, puisque William Parsons, 3e comte de Rosse, avait, dès 1850, suggéré que sa structure présentait des spirales7.M33 a été utilisée par Gérard de Vaucouleurs comme une galaxie de type morphologique SA(s)cd dans son atlas des galaxies.
La galaxie du Triangle, également appelée M33, est une galaxie spirale de type SA(s)cd appartenant au Groupe local et située dans la constellation du Triangle. Sans doute satellite de la galaxie d'Andromède, sa distance au Soleil est assez mal connue. Les mesures actuelles donnent une distance allant de environ 0,73 Mpc (∼2,38 millions d'a.l.) à environ 0,94 Mpc (∼3,07 millions d'a.l.).C'est la troisième galaxie la plus massive du Groupe local, après la galaxie d'Andromède et la Voie lactée mais devant le Grand Nuage de Magellan. Avec une masse évaluée à 60 milliards de masses solaires, elle ne représente que 5 % de la masse de la galaxie d'Andromède, la matière noire constituant près de 85 % de cette masse.Cataloguée pour la première fois par Charles Messier en 1764, la galaxie du Triangle avait probablement déjà été observée auparavant, étant visible à l'œil nu lorsque les conditions s'y prêtent. Son étude astronomique remonte au moins au milieu du xixe siècle, puisque William Parsons, 3e comte de Rosse, avait, dès 1850, suggéré que sa structure présentait des spirales7.M33 a été utilisée par Gérard de Vaucouleurs comme une galaxie de type morphologique SA(s)cd dans son atlas des galaxies.
La Nébuleuse de la Trompe de l'Eléphant est un globule ovale et sombre dans la nébuleuse IC 1396 de la constellation de Céphée. Situé à une distance de 2450 années-lumière, le globule est une condensation de gaz dense qui survit avec peine aux fortes radiations ionisantes d'une étoile massive voisine. Il est fortement compressé par les gaz ionisés environnant.
La Nébuleuse de la Trompe de l'Eléphant est un globule ovale et sombre dans la nébuleuse IC 1396 de la constellation de Céphée. Situé à une distance de 2450 années-lumière, le globule est une condensation de gaz dense qui survit avec peine aux fortes radiations ionisantes d'une étoile massive voisine. Il est fortement compressé par les gaz ionisés environnant.
La nébuleuse du Pélican (IC 5067 et IC 5070) est une nébuleuse en émission située à environ 2 000 années-lumière de la Terre dans la constellation du Cygne1. Elle est très étendue dans le ciel, faisant environ 2,5 fois le diamètre de la Lune.
La nébuleuse du Pélican (IC 5067 et IC 5070) est une nébuleuse en émission située à environ 2 000 années-lumière de la Terre dans la constellation du Cygne1. Elle est très étendue dans le ciel, faisant environ 2,5 fois le diamètre de la Lune.
La Nébuleuse de la Trompe de l'Eléphant est un globule ovale et sombre dans la nébuleuse IC 1396 de la constellation de Céphée. Situé à une distance de 2450 années-lumière, le globule est une condensation de gaz dense qui survit avec peine aux fortes radiations ionisantes d'une étoile massive voisine. Il est fortement compressé par les gaz ionisés environnant.
La Nébuleuse de la Trompe de l'Eléphant est un globule ovale et sombre dans la nébuleuse IC 1396 de la constellation de Céphée. Situé à une distance de 2450 années-lumière, le globule est une condensation de gaz dense qui survit avec peine aux fortes radiations ionisantes d'une étoile massive voisine. Il est fortement compressé par les gaz ionisés environnant.
Les Dentelles du Cygne forment un rémanent de supernova dont l'explosion remonterait à une dizaine de milliers d'années. Elles se situent dans la constellation du Cygne. Le nom normalisé de ce rémanent est SNR G074.0-08.6, qui est quelquefois également appelé boucle du Cygne, terme issu de la traduction littérale de son nom anglais (Cygnus Loop). Cet objet est très vaste (une dizaine de degrés carrés) et très morcelé, notamment dans le domaine visible. Il n'a reçu que récemment une désignation qui s'applique à l'objet tout entier. On retrouve notamment les Dentelles du Cygne dans le catalogue Sharpless sous la désignation de Sh2-103. On la connaît cependant mieux en tant que groupe de plusieurs parties brillantes grosso modo disposées en cercle : la Grande Dentelle, la partie la plus brillante, se situe dans la région nord-est. Elle a la forme d'une virgule composée de filaments très fins s'étendant sur 1,2° suivant un axe NO-SE pour une largeur de l'ordre de dix minutes d'arc. Elle a été répertoriée par John Dreyer sous les désignations NGC 6992 (partie longiligne du nord-ouest), NGC 6995 (rebiquage au sud-est) et IC 1340 (extensions plus faibles de ce rebiquage) ; la Petite Dentelle se situe à l'opposé de la grande, à 2,5° au sud-ouest de cette dernière. Elle présente la particularité d'effleurer visuellement une étoile visible à l'œil nu (magnitude 4,2), 52 Cygni, ce qui rend le pointage aisé pour l'astronome amateur. Au nord de cette étoile, la Petite Dentelle est constituée d'un filament comprenant deux brins principaux, s'étendant sur quasiment un demi-degré pour une largeur ne dépassant pas quatre minutes d'arc ; de l'autre côté de l'étoile, le filament s'évase en direction du sud-est autour de trois brins principaux (plus brillants au fur et à mesure que l'on s'éloigne vers l'ouest). Cette partie des Dentelles du Cygne est connue sous la désignation de NGC 6960 (elle n'en constitue en fait qu'une petite partie) ; le Triangle de Pickering se trouve quant à lui au nord-ouest de la nébuleuse. Comme son nom l'indique en partie, il s'agit d'un triangle filamenteux allongé en direction du sud sur environ 45 minutes d'arc (pour une base de 25' de largeur). Il partage avec la Petite Dentelle la désignation de NGC 6960. Le Triangle de Pickering se prolonge par un long filament de plus de deux degrés de long ; quelques nodosités isolées viennent compléter le tableau, toujours avec l'aspect filamenteux que l'on retrouve dans les parties précédentes. Citons notamment NGC 6974 et NGC 6979, un demi-degré au nord-est du Triangle de Pickering.
Les Dentelles du Cygne forment un rémanent de supernova dont l'explosion remonterait à une dizaine de milliers d'années. Elles se situent dans la constellation du Cygne. Le nom normalisé de ce rémanent est SNR G074.0-08.6, qui est quelquefois également appelé boucle du Cygne, terme issu de la traduction littérale de son nom anglais (Cygnus Loop). Cet objet est très vaste (une dizaine de degrés carrés) et très morcelé, notamment dans le domaine visible. Il n'a reçu que récemment une désignation qui s'applique à l'objet tout entier. On retrouve notamment les Dentelles du Cygne dans le catalogue Sharpless sous la désignation de Sh2-103. On la connaît cependant mieux en tant que groupe de plusieurs parties brillantes grosso modo disposées en cercle : la Grande Dentelle, la partie la plus brillante, se situe dans la région nord-est. Elle a la forme d'une virgule composée de filaments très fins s'étendant sur 1,2° suivant un axe NO-SE pour une largeur de l'ordre de dix minutes d'arc. Elle a été répertoriée par John Dreyer sous les désignations NGC 6992 (partie longiligne du nord-ouest), NGC 6995 (rebiquage au sud-est) et IC 1340 (extensions plus faibles de ce rebiquage) ; la Petite Dentelle se situe à l'opposé de la grande, à 2,5° au sud-ouest de cette dernière. Elle présente la particularité d'effleurer visuellement une étoile visible à l'œil nu (magnitude 4,2), 52 Cygni, ce qui rend le pointage aisé pour l'astronome amateur. Au nord de cette étoile, la Petite Dentelle est constituée d'un filament comprenant deux brins principaux, s'étendant sur quasiment un demi-degré pour une largeur ne dépassant pas quatre minutes d'arc ; de l'autre côté de l'étoile, le filament s'évase en direction du sud-est autour de trois brins principaux (plus brillants au fur et à mesure que l'on s'éloigne vers l'ouest). Cette partie des Dentelles du Cygne est connue sous la désignation de NGC 6960 (elle n'en constitue en fait qu'une petite partie) ; le Triangle de Pickering se trouve quant à lui au nord-ouest de la nébuleuse. Comme son nom l'indique en partie, il s'agit d'un triangle filamenteux allongé en direction du sud sur environ 45 minutes d'arc (pour une base de 25' de largeur). Il partage avec la Petite Dentelle la désignation de NGC 6960. Le Triangle de Pickering se prolonge par un long filament de plus de deux degrés de long ; quelques nodosités isolées viennent compléter le tableau, toujours avec l'aspect filamenteux que l'on retrouve dans les parties précédentes. Citons notamment NGC 6974 et NGC 6979, un demi-degré au nord-est du Triangle de Pickering.
Le Soleil est l’étoile du Système solaire. Dans la classification astronomique, c’est une étoile de type naine jaune d'une masse d'environ 1,989 1 × 1030 kg, composée d’hydrogène (74 % de la masse ou 92 % du volume) et d’hélium (25 % de la masse ou 8 % du volume). Le Soleil fait partie de la galaxie appelée la Voie lactée et se situe à environ 8 kpc (∼26 100 a.l.) du centre galactique, dans le bras d'Orion. Le Soleil orbite autour du centre galactique en une année galactique de 225 à 250 millions d'années. Autour de lui gravitent la Terre (à la vitesse de 30 km/s), sept autres planètes, au moins cinq planètes naines, de très nombreux astéroïdes et comètes et une bande de poussière. Le Soleil représente à lui seul environ 99,854 % de la masse du système planétaire ainsi constitué, Jupiter représentant plus des deux tiers du reste.L’énergie solaire transmise par le rayonnement solaire rend possible la vie sur Terre par apport d'énergie lumineuse (lumière) et d'énergie thermique (chaleur), permettant la présence d’eau à l’état liquide et la photosynthèse des végétaux. Le rayonnement ultraviolet contribue à la désinfection naturelle des eaux de surfaces et à y détruire certaines molécules indésirables (quand l'eau n'est pas trop turbide)10. La polarisation de la lumière solaire (ou lunaire, de nuit), par des matériaux tels que l'eau ou les cuticules végétales, est utilisée par de nombreuses espèces pour s'orienter11,12.Le rayonnement solaire est aussi responsable des climats et de la plupart des phénomènes météorologiques observés sur la Terre. En effet, le bilan radiatif global de la Terre est tel que l'énergie thermique à la surface de la Terre est en moyenne à 99,97 ou 99,98 % d’origine solairenote 1. Comme pour tous les autres corps, ces flux thermiques sont continuellement émis dans l’espace, sous forme de rayonnement thermique infrarouge ; la Terre reste ainsi en équilibre dynamique.Le demi-grand axe de l’orbite de la Terre autour du Soleil, couramment appelé « distance de la Terre au Soleil », égal à 149 597 870 700 ± 3 m13, est la définition originale de l’unité astronomique (de symbole « au »). Il faut 8 minutes et 19 secondes pour que la lumière du Soleil parvienne jusqu’à la Terre13.Le symbole astronomique et astrologique du Soleil est un cercle avec un point en son centre : ⊙\odot.
Le Soleil est l’étoile du Système solaire. Dans la classification astronomique, c’est une étoile de type naine jaune d'une masse d'environ 1,989 1 × 1030 kg, composée d’hydrogène (74 % de la masse ou 92 % du volume) et d’hélium (25 % de la masse ou 8 % du volume). Le Soleil fait partie de la galaxie appelée la Voie lactée et se situe à environ 8 kpc (∼26 100 a.l.) du centre galactique, dans le bras d'Orion. Le Soleil orbite autour du centre galactique en une année galactique de 225 à 250 millions d'années. Autour de lui gravitent la Terre (à la vitesse de 30 km/s), sept autres planètes, au moins cinq planètes naines, de très nombreux astéroïdes et comètes et une bande de poussière. Le Soleil représente à lui seul environ 99,854 % de la masse du système planétaire ainsi constitué, Jupiter représentant plus des deux tiers du reste.L’énergie solaire transmise par le rayonnement solaire rend possible la vie sur Terre par apport d'énergie lumineuse (lumière) et d'énergie thermique (chaleur), permettant la présence d’eau à l’état liquide et la photosynthèse des végétaux. Le rayonnement ultraviolet contribue à la désinfection naturelle des eaux de surfaces et à y détruire certaines molécules indésirables (quand l'eau n'est pas trop turbide)10. La polarisation de la lumière solaire (ou lunaire, de nuit), par des matériaux tels que l'eau ou les cuticules végétales, est utilisée par de nombreuses espèces pour s'orienter11,12.Le rayonnement solaire est aussi responsable des climats et de la plupart des phénomènes météorologiques observés sur la Terre. En effet, le bilan radiatif global de la Terre est tel que l'énergie thermique à la surface de la Terre est en moyenne à 99,97 ou 99,98 % d’origine solairenote 1. Comme pour tous les autres corps, ces flux thermiques sont continuellement émis dans l’espace, sous forme de rayonnement thermique infrarouge ; la Terre reste ainsi en équilibre dynamique.Le demi-grand axe de l’orbite de la Terre autour du Soleil, couramment appelé « distance de la Terre au Soleil », égal à 149 597 870 700 ± 3 m13, est la définition originale de l’unité astronomique (de symbole « au »). Il faut 8 minutes et 19 secondes pour que la lumière du Soleil parvienne jusqu’à la Terre13.Le symbole astronomique et astrologique du Soleil est un cercle avec un point en son centre : ⊙\odot.
Le Soleil est l’étoile du Système solaire. Dans la classification astronomique, c’est une étoile de type naine jaune d'une masse d'environ 1,989 1 × 1030 kg, composée d’hydrogène (74 % de la masse ou 92 % du volume) et d’hélium (25 % de la masse ou 8 % du volume). Le Soleil fait partie de la galaxie appelée la Voie lactée et se situe à environ 8 kpc (∼26 100 a.l.) du centre galactique, dans le bras d'Orion. Le Soleil orbite autour du centre galactique en une année galactique de 225 à 250 millions d'années. Autour de lui gravitent la Terre (à la vitesse de 30 km/s), sept autres planètes, au moins cinq planètes naines, de très nombreux astéroïdes et comètes et une bande de poussière. Le Soleil représente à lui seul environ 99,854 % de la masse du système planétaire ainsi constitué, Jupiter représentant plus des deux tiers du reste.L’énergie solaire transmise par le rayonnement solaire rend possible la vie sur Terre par apport d'énergie lumineuse (lumière) et d'énergie thermique (chaleur), permettant la présence d’eau à l’état liquide et la photosynthèse des végétaux. Le rayonnement ultraviolet contribue à la désinfection naturelle des eaux de surfaces et à y détruire certaines molécules indésirables (quand l'eau n'est pas trop turbide)10. La polarisation de la lumière solaire (ou lunaire, de nuit), par des matériaux tels que l'eau ou les cuticules végétales, est utilisée par de nombreuses espèces pour s'orienter11,12.Le rayonnement solaire est aussi responsable des climats et de la plupart des phénomènes météorologiques observés sur la Terre. En effet, le bilan radiatif global de la Terre est tel que l'énergie thermique à la surface de la Terre est en moyenne à 99,97 ou 99,98 % d’origine solairenote 1. Comme pour tous les autres corps, ces flux thermiques sont continuellement émis dans l’espace, sous forme de rayonnement thermique infrarouge ; la Terre reste ainsi en équilibre dynamique.Le demi-grand axe de l’orbite de la Terre autour du Soleil, couramment appelé « distance de la Terre au Soleil », égal à 149 597 870 700 ± 3 m13, est la définition originale de l’unité astronomique (de symbole « au »). Il faut 8 minutes et 19 secondes pour que la lumière du Soleil parvienne jusqu’à la Terre13.Le symbole astronomique et astrologique du Soleil est un cercle avec un point en son centre : ⊙\odot.
Le Soleil est l’étoile du Système solaire. Dans la classification astronomique, c’est une étoile de type naine jaune d'une masse d'environ 1,989 1 × 1030 kg, composée d’hydrogène (74 % de la masse ou 92 % du volume) et d’hélium (25 % de la masse ou 8 % du volume). Le Soleil fait partie de la galaxie appelée la Voie lactée et se situe à environ 8 kpc (∼26 100 a.l.) du centre galactique, dans le bras d'Orion. Le Soleil orbite autour du centre galactique en une année galactique de 225 à 250 millions d'années. Autour de lui gravitent la Terre (à la vitesse de 30 km/s), sept autres planètes, au moins cinq planètes naines, de très nombreux astéroïdes et comètes et une bande de poussière. Le Soleil représente à lui seul environ 99,854 % de la masse du système planétaire ainsi constitué, Jupiter représentant plus des deux tiers du reste.L’énergie solaire transmise par le rayonnement solaire rend possible la vie sur Terre par apport d'énergie lumineuse (lumière) et d'énergie thermique (chaleur), permettant la présence d’eau à l’état liquide et la photosynthèse des végétaux. Le rayonnement ultraviolet contribue à la désinfection naturelle des eaux de surfaces et à y détruire certaines molécules indésirables (quand l'eau n'est pas trop turbide)10. La polarisation de la lumière solaire (ou lunaire, de nuit), par des matériaux tels que l'eau ou les cuticules végétales, est utilisée par de nombreuses espèces pour s'orienter11,12.Le rayonnement solaire est aussi responsable des climats et de la plupart des phénomènes météorologiques observés sur la Terre. En effet, le bilan radiatif global de la Terre est tel que l'énergie thermique à la surface de la Terre est en moyenne à 99,97 ou 99,98 % d’origine solairenote 1. Comme pour tous les autres corps, ces flux thermiques sont continuellement émis dans l’espace, sous forme de rayonnement thermique infrarouge ; la Terre reste ainsi en équilibre dynamique.Le demi-grand axe de l’orbite de la Terre autour du Soleil, couramment appelé « distance de la Terre au Soleil », égal à 149 597 870 700 ± 3 m13, est la définition originale de l’unité astronomique (de symbole « au »). Il faut 8 minutes et 19 secondes pour que la lumière du Soleil parvienne jusqu’à la Terre13.Le symbole astronomique et astrologique du Soleil est un cercle avec un point en son centre : ⊙\odot.
La galaxie d'Andromède, également désignée M31 dans le Catalogue de Messier et NGC 224, est une galaxie spirale située à environ 2,55 millions d'années-lumière du Soleil, dans la constellation d'Andromède. La galaxie d'Andromède (NGC 224) a été utilisée par Gérard de Vaucouleurs comme une galaxie de type morphologique SA(s)b dans son atlas des galaxies9,10. Appelée grande nébuleuse d’Andromède jusqu'à ce que sa vraie nature ait été reconnue dans les années 1920, la galaxie d'Andromède est la galaxie spirale la plus proche de la Voie lactée (toutes classes confondues, la galaxie la plus proche est la naine du Grand Chien) et le plus grand membre du Groupe local d'une soixantaine de galaxies individuelles dont toutes deux font partie. D'un diamètre d'environ 220 000 années-lumière, elle contiendrait environ mille milliards d'étoiles11, deux à cinq fois plus que notre galaxie. Avec une magnitude visuelle de 3,4, la galaxie d'Andromède est l’une des rares galaxies observables à l'œil nu depuis la Terre dans l’hémisphère nord. C’est également l'un des objets les plus étendus de la voûte céleste, avec un diamètre apparent de 3,18°, soit plus de six fois le diamètre apparent de la Lune12 observée depuis la Terre.
La galaxie d'Andromède, également désignée M31 dans le Catalogue de Messier et NGC 224, est une galaxie spirale située à environ 2,55 millions d'années-lumière du Soleil, dans la constellation d'Andromède. La galaxie d'Andromède (NGC 224) a été utilisée par Gérard de Vaucouleurs comme une galaxie de type morphologique SA(s)b dans son atlas des galaxies9,10. Appelée grande nébuleuse d’Andromède jusqu'à ce que sa vraie nature ait été reconnue dans les années 1920, la galaxie d'Andromède est la galaxie spirale la plus proche de la Voie lactée (toutes classes confondues, la galaxie la plus proche est la naine du Grand Chien) et le plus grand membre du Groupe local d'une soixantaine de galaxies individuelles dont toutes deux font partie. D'un diamètre d'environ 220 000 années-lumière, elle contiendrait environ mille milliards d'étoiles11, deux à cinq fois plus que notre galaxie. Avec une magnitude visuelle de 3,4, la galaxie d'Andromède est l’une des rares galaxies observables à l'œil nu depuis la Terre dans l’hémisphère nord. C’est également l'un des objets les plus étendus de la voûte céleste, avec un diamètre apparent de 3,18°, soit plus de six fois le diamètre apparent de la Lune12 observée depuis la Terre.
Les Dentelles du Cygne forment un rémanent de supernova dont l'explosion remonterait à une dizaine de milliers d'années. Elles se situent dans la constellation du Cygne. Le nom normalisé de ce rémanent est SNR G074.0-08.6, qui est quelquefois également appelé boucle du Cygne, terme issu de la traduction littérale de son nom anglais (Cygnus Loop). Cet objet est très vaste (une dizaine de degrés carrés) et très morcelé, notamment dans le domaine visible. Il n'a reçu que récemment une désignation qui s'applique à l'objet tout entier. On retrouve notamment les Dentelles du Cygne dans le catalogue Sharpless sous la désignation de Sh2-103. On la connaît cependant mieux en tant que groupe de plusieurs parties brillantes grosso modo disposées en cercle : la Grande Dentelle, la partie la plus brillante, se situe dans la région nord-est. Elle a la forme d'une virgule composée de filaments très fins s'étendant sur 1,2° suivant un axe NO-SE pour une largeur de l'ordre de dix minutes d'arc. Elle a été répertoriée par John Dreyer sous les désignations NGC 6992 (partie longiligne du nord-ouest), NGC 6995 (rebiquage au sud-est) et IC 1340 (extensions plus faibles de ce rebiquage) ; la Petite Dentelle se situe à l'opposé de la grande, à 2,5° au sud-ouest de cette dernière. Elle présente la particularité d'effleurer visuellement une étoile visible à l'œil nu (magnitude 4,2), 52 Cygni, ce qui rend le pointage aisé pour l'astronome amateur. Au nord de cette étoile, la Petite Dentelle est constituée d'un filament comprenant deux brins principaux, s'étendant sur quasiment un demi-degré pour une largeur ne dépassant pas quatre minutes d'arc ; de l'autre côté de l'étoile, le filament s'évase en direction du sud-est autour de trois brins principaux (plus brillants au fur et à mesure que l'on s'éloigne vers l'ouest). Cette partie des Dentelles du Cygne est connue sous la désignation de NGC 6960 (elle n'en constitue en fait qu'une petite partie) ; le Triangle de Pickering se trouve quant à lui au nord-ouest de la nébuleuse. Comme son nom l'indique en partie, il s'agit d'un triangle filamenteux allongé en direction du sud sur environ 45 minutes d'arc (pour une base de 25' de largeur). Il partage avec la Petite Dentelle la désignation de NGC 6960. Le Triangle de Pickering se prolonge par un long filament de plus de deux degrés de long ; quelques nodosités isolées viennent compléter le tableau, toujours avec l'aspect filamenteux que l'on retrouve dans les parties précédentes. Citons notamment NGC 6974 et NGC 6979, un demi-degré au nord-est du Triangle de Pickering.
Les Dentelles du Cygne forment un rémanent de supernova dont l'explosion remonterait à une dizaine de milliers d'années. Elles se situent dans la constellation du Cygne. Le nom normalisé de ce rémanent est SNR G074.0-08.6, qui est quelquefois également appelé boucle du Cygne, terme issu de la traduction littérale de son nom anglais (Cygnus Loop). Cet objet est très vaste (une dizaine de degrés carrés) et très morcelé, notamment dans le domaine visible. Il n'a reçu que récemment une désignation qui s'applique à l'objet tout entier. On retrouve notamment les Dentelles du Cygne dans le catalogue Sharpless sous la désignation de Sh2-103. On la connaît cependant mieux en tant que groupe de plusieurs parties brillantes grosso modo disposées en cercle : la Grande Dentelle, la partie la plus brillante, se situe dans la région nord-est. Elle a la forme d'une virgule composée de filaments très fins s'étendant sur 1,2° suivant un axe NO-SE pour une largeur de l'ordre de dix minutes d'arc. Elle a été répertoriée par John Dreyer sous les désignations NGC 6992 (partie longiligne du nord-ouest), NGC 6995 (rebiquage au sud-est) et IC 1340 (extensions plus faibles de ce rebiquage) ; la Petite Dentelle se situe à l'opposé de la grande, à 2,5° au sud-ouest de cette dernière. Elle présente la particularité d'effleurer visuellement une étoile visible à l'œil nu (magnitude 4,2), 52 Cygni, ce qui rend le pointage aisé pour l'astronome amateur. Au nord de cette étoile, la Petite Dentelle est constituée d'un filament comprenant deux brins principaux, s'étendant sur quasiment un demi-degré pour une largeur ne dépassant pas quatre minutes d'arc ; de l'autre côté de l'étoile, le filament s'évase en direction du sud-est autour de trois brins principaux (plus brillants au fur et à mesure que l'on s'éloigne vers l'ouest). Cette partie des Dentelles du Cygne est connue sous la désignation de NGC 6960 (elle n'en constitue en fait qu'une petite partie) ; le Triangle de Pickering se trouve quant à lui au nord-ouest de la nébuleuse. Comme son nom l'indique en partie, il s'agit d'un triangle filamenteux allongé en direction du sud sur environ 45 minutes d'arc (pour une base de 25' de largeur). Il partage avec la Petite Dentelle la désignation de NGC 6960. Le Triangle de Pickering se prolonge par un long filament de plus de deux degrés de long ; quelques nodosités isolées viennent compléter le tableau, toujours avec l'aspect filamenteux que l'on retrouve dans les parties précédentes. Citons notamment NGC 6974 et NGC 6979, un demi-degré au nord-est du Triangle de Pickering.
IC 1396 contient la nébuleuse de la Trompe d'éléphant, une grande nébuleuse en émission qui fait 3 à 5 fois le diamètre de la pleine lune dans le ciel terrestre.
IC 1396 contient la nébuleuse de la Trompe d'éléphant, une grande nébuleuse en émission qui fait 3 à 5 fois le diamètre de la pleine lune dans le ciel terrestre.
IC 1805, surnommée la nébuleuse du Cœur, est une nébuleuse en émission située à environ 6 500 années-lumière dans la constellation de Cassiopée. Elle couvre un champ d'environ 60 minutes d'arc, ce qui correspond approximativement à 200 années-lumière1. Cette nébuleuse contient un amas ouvert, Melotte 151.
IC 1805, surnommée la nébuleuse du Cœur, est une nébuleuse en émission située à environ 6 500 années-lumière dans la constellation de Cassiopée. Elle couvre un champ d'environ 60 minutes d'arc, ce qui correspond approximativement à 200 années-lumière1. Cette nébuleuse contient un amas ouvert, Melotte 151.
IC 5146 est composé d'une nébuleuse en émission et un amas ouvert situés à environ 4 000 années-lumière de la Terre dans la constellation du Cygne1. Il a un diamètre d'environ 15 années-lumière1. Elle se trouve près du bord Est de la constellation, près de celle du Lézard, en plein dans la Voie lactée, à une heure en AD de la Nébuleuse de l'Amérique du Nord. Elle est située à l'extrémité de la nébuleuse obscure Barnard 168 (de)1. Elle est également une zone de formation d'étoiles.
IC 5146 est composé d'une nébuleuse en émission et un amas ouvert situés à environ 4 000 années-lumière de la Terre dans la constellation du Cygne1. Il a un diamètre d'environ 15 années-lumière1. Elle se trouve près du bord Est de la constellation, près de celle du Lézard, en plein dans la Voie lactée, à une heure en AD de la Nébuleuse de l'Amérique du Nord. Elle est située à l'extrémité de la nébuleuse obscure Barnard 168 (de)1. Elle est également une zone de formation d'étoiles.
La galaxie du Triangle, également appelée M33, est une galaxie spirale de type SA(s)cd appartenant au Groupe local et située dans la constellation du Triangle. Sans doute satellite de la galaxie d'Andromède, sa distance au Soleil est assez mal connue. Les mesures actuelles donnent une distance allant de environ 0,73 Mpc (∼2,38 millions d'a.l.) à environ 0,94 Mpc (∼3,07 millions d'a.l.). C'est la troisième galaxie la plus massive du Groupe local, après la galaxie d'Andromède et la Voie lactée mais devant le Grand Nuage de Magellan. Avec une masse évaluée à 60 milliards de masses solaires, elle ne représente que 5 % de la masse de la galaxie d'Andromède, la matière noire constituant près de 85 % de cette masse. Cataloguée pour la première fois par Charles Messier en 1764, la galaxie du Triangle avait probablement déjà été observée auparavant, étant visible à l'œil nu lorsque les conditions s'y prêtent. Son étude astronomique remonte au moins au milieu du xixe siècle, puisque William Parsons, 3e comte de Rosse, avait, dès 1850, suggéré que sa structure présentait des spirales7. M33 a été utilisée par Gérard de Vaucouleurs comme une galaxie de type morphologique SA(s)cd dans son atlas des galaxies.
La galaxie du Triangle, également appelée M33, est une galaxie spirale de type SA(s)cd appartenant au Groupe local et située dans la constellation du Triangle. Sans doute satellite de la galaxie d'Andromède, sa distance au Soleil est assez mal connue. Les mesures actuelles donnent une distance allant de environ 0,73 Mpc (∼2,38 millions d'a.l.) à environ 0,94 Mpc (∼3,07 millions d'a.l.). C'est la troisième galaxie la plus massive du Groupe local, après la galaxie d'Andromède et la Voie lactée mais devant le Grand Nuage de Magellan. Avec une masse évaluée à 60 milliards de masses solaires, elle ne représente que 5 % de la masse de la galaxie d'Andromède, la matière noire constituant près de 85 % de cette masse. Cataloguée pour la première fois par Charles Messier en 1764, la galaxie du Triangle avait probablement déjà été observée auparavant, étant visible à l'œil nu lorsque les conditions s'y prêtent. Son étude astronomique remonte au moins au milieu du xixe siècle, puisque William Parsons, 3e comte de Rosse, avait, dès 1850, suggéré que sa structure présentait des spirales7. M33 a été utilisée par Gérard de Vaucouleurs comme une galaxie de type morphologique SA(s)cd dans son atlas des galaxies.
La nébuleuse de la Tête de Cheval, officiellement connue sous le nom de Barnard 33 (IC 434 désigne la nébuleuse émissive à l'arrière-plan), est une nébuleuse obscure dans la constellation d'Orion. La nébuleuse est située juste en dessous d'Alnitak (ζ Ori), l'étoile la plus à l'est de la ceinture d'Orion
La nébuleuse de la Tête de Cheval, officiellement connue sous le nom de Barnard 33 (IC 434 désigne la nébuleuse émissive à l'arrière-plan), est une nébuleuse obscure dans la constellation d'Orion. La nébuleuse est située juste en dessous d'Alnitak (ζ Ori), l'étoile la plus à l'est de la ceinture d'Orion

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